Les conseils de Louzou

Merci de tous ces conseils!

C'est agréable de se rendre compte grâce à vous, que finalement, j'ai une ressource ici. Parce qu'il chôme pas le lierre, même dessous les thuyas, il y va, il escalade les talus avec les ronces, et hop, chez le chemin voisin, mais vite il revient y a de la lumière...
Je savais que "le lierre meurt où il s'attache", et c'est dans le livre des prénoms, au mien, je crois .



MAIS, on ne se baigne jamais deux fois dans le même fleuve!

Pour vous montrer l'effet des murs de pierres sur la végétation,
je vous envoie ces fleurs de la passion que j'ai photographiées

LE 23 NOVEMBRE À DAOULAS, FINISTÈRE

sur le mur entourant la fontaine. Ah!







et j'ai oublié de prendre les eucalyptus! Hélas!

non, le lierre ne pousse pas que sur les arbres prêts à mourir. D'un côté de la maison où j'habite, il y a un bois d'acacias avec deux chênes magnifiques, et le sous-bois est envahi de lierre qui grimpe aux arbres. C'est une des premières choses que j'ai faites en arrivant, ôter le lierre des troncs, car le lierre étouffe, de par son feuillage persistant notamment. Il empêche lumière, chaleur et héberge des parasites.

Salut Lillitop!
Qu'appelles-tu des parasites?

bonsoir louZou,

depuis que j'ai écrit ce post, je me suis documentée un peu sur le lierre et je m'aperçois qu'il n'est peut-être pas si nuisible que ça, qu'au contraire il permet le développement d'un biotope et qu'apparemment quand le lierre gagne sur le chêne, c'est que celui-ci est faible et vieux...
cela bouscule toutes les croyances que les vieux m'avaient transmis

Ouf... heureusement que je ne l'avais pas déraciné, juste coupé... il a d'ailleurs déjà repris.

Ah, Lilithop, tu ne me vois pas, mais je pousse un soupir de soulagement!



Comme quoi, la génération d'avant nous s'est bien faite enfler, en restant poli, par les vendeurs de cochonneries, -pardon aux cochons- en tous genres, depuis le formica à la place du chêne massif, jusqu'aux PESTICIDES= BIOCIDES.
Hugh, j'ai dit!